Cette « vile » fait sombrer ton âme,
sa rive ? Platitude d’écueil.
Son chant ! L’insondable que clament
Tes veines enneigées par son accueil.
L’Éden jeté au « chut » qui grondent
Sous tourbillons et flocons fiévreux,
liant « les sens » tressaillants ; puis frondent
« saouls » l’épiderme « las », vaporeux.
Ton nom ! Lies-le, voué au Très-Haut.
Ton non ! Lis-le ! Fixes l’évulsion
du veineux Styx vers la condition
D’ « êtres » déliés de ce fléau.
Anzigis
Poème dédié à la mémoire d’un ami, Patrick Martin, décédé d’une overdose dans la puanteur de W.C. publics, seul lieu qu’il trouva pour se cacher de son addiction.
Il est aussi dédié par extension à tous ceux qui souhaitent se libérer des drogues dures.
J’ai testé ! Il n’y aurait que là morphine qui me conviendrait ou le peyotl. Mais non, je suis subefficient, cela me rendrait totalement fou, j’ai assez de problèmes comme cela !